Commission communication & marketing
SECRÉTAIRE ADENES Emmanuel Villette

Cette Commission a été très active depuis sa
mise en place.  Elle est au cœur des relations
avec la presse professionnelle et les organisateurs
de Salons professionnels. Les travaux de réalisation
d’un film-métier à destination des jeunes diplômés, les relations avec les Écoles techniques, universités, etc.., et la création du présent site web ont été placés sous sa responsabilité.

 

     
MEMBRES ADENES Tancrède Stagnara
  CUNNINGHAM LINDSEY Frédéric Bonn
  POLYEXPERT Béatrice Résillot
  HUDAULT SAS Nicolas Hudault
  SARETEC Éric Toledano
  UNION D'EXPERTS Maxime Chrétien
  FSE Arielle Rousselle
  STELLIANT Francois-Xavier Lemaire
     
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Commission échanges de données informatisées
SECRÉTAIRE SARETEC Alain Guede

 

La commission DSI a été créée en juin 2011. Elle est composée de DSI des Entreprises adhérentes à la Fédération. Ses principaux objectifs sont la recherche de performance et de compétitive dans l’EDI (interne et externe), de solutions alternatives aux systèmes présents sur le marché et de la gestion des relations avec DARVA dans l’évolution des Systèmes d’information.

 

  SARETEC Philippe Tromson
  CET Philippe Egg
     
MEMBRES ADENES Aymeric Lacroix
  HUDAULT SAS Nicolas Hudault
  POLYEXPERT Frédéric Duflos
  PRUNAY GROUPE Christophe Maroni
  STELLIANT Antoine Brière
  UNION D'EXPERTS Michel Baudiment
  FSE Arielle Rousselle
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Commission Sociale
SECRÉTAIRE POLYEXPERT Jean-François Carette

La Commission Sociale de la Fédération a pour mission de défendre les intérêts collectifs des employeurs adhérents à la FSE.
Elle participe aux instances paritaires suivantes :

- La Commission paritaire de la Convention Collective Nationale, qui négocie les textes conventionnels et leurs avenants.
- La Commission Paritaire Nationale de l’Emploi, qui définit les orientations concernant le financement de la formation professionnelle, en lien avec AGEFOS PME

- La Commission paritaire de validation des accords, qui se prononce sur la validation des accords collectifs négociés dans les entreprises de moins de 200 salariés dépourvues d’organisations syndicales.

La Commission sociale se réunit 3 à 4 fois par an pour traiter des thèmes majeurs qui ont un impact social sur le secteur professionnel.
Exemple : La réalisation d’une campagne de mesure spécifique concernant l’exposition des experts au risque amiante sur les lieux sinistrés.

  FSE  Arielle Rousselle
     
MEMBRES ADENES Florence Magliola
  CET Véronique Tirel
  CUNNINGHAM LINDSEY Elodie Michal
  ERGET Carole Courtial
  GM CONSULTANT
Mathieu Geffrier (DRH)
  HUDAULT SAS Nicolas Hudault
  NAUDET Agnès Picheta
  PRUNAY GROUPE Delphine Guesnet
  SARETEC Agnès Devillechabrol
  STELLIANT Olivier Thyebaut (DRH)
  UNION D'EXPERTS Catherine Jutel
   

 

 

 

 

 

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Principes

Le rôle de l’expert est la mise en oeuvre au quotidien du développement durable
Par nature l’expert est l’interface avec les parties prenantes d’un sinistre. Il met à profit sa
situation de facilitateur, ses compétences et son expérience, pour permettre à ces parties
prenantes de s’acquitter de leur propre responsabilité sociétale.
De par son action, il est un garant fondamental de la pérennité du principe de mutualité, dans
l’intérêt de toutes les parties‐prenantes.
L’expert est ainsi, à la fois acteur du développement durable et observateur des transformations
de la société.
Enjeux spécifiques
La profession d’experts reconnaît que la société, la nature et l’économie font face à des
transformations structurelles, qui affectent considérablement les intérêts de ses parties
prenantes. Et ce en particulier parce qu’elles exigent un besoin renforcé de solidarité sociale.
Parmi les tendances à long terme qui marquent notre société, on peut retenir :

  • Le retrait des États, l’affaiblissement des services publics, le développement de la précarité…
    exigent une protection accrue, nécessairement véhiculée par une forme ou une autre
    d’assurance.
  • Le comportement de l’assuré – consommateur ‐ se transforme. Ses exigences et son pouvoir
    augmentent. Le refus du risque est devenu une constante de notre société. Le droit, et le
    recours au droit, prend une importance grandissante. Or, la législation se complexifie et
    devient de plus en plus punitive.
  • De nouvelles populations fragiles apparaissent, exigeant un nouveau type de services et de
    relation. Il s’agit en particulier des populations âgées, résultat de l’allongement de l’espérance
    de vie, qui demandent un nouveau type de relation. Il s’agit aussi de l’apparition de formes de
    précarité, qui réclament la conception de produits accessibles à des personnes peu solvables.
  • La globalisation, et l’interconnexion des économies et des entreprises amplifient l’impact et le
    coût des sinistres industriels.
  • Les catastrophes naturelles et technologiques voient leur fréquence et leur impact augmenter
    considérablement. Elles demandent une réactivité et des types de prestations nouveaux.
  • Le développement de médias nouveaux extrêmement puissants (Internet) ouvre d’importants
    risques et opportunités à la profession. Risque de désinformation et de perte de réputation,
    pour une profession peu connue et dont le métier est complexe. Mais aussi opportunité
    d’information sur son activité, qui est au coeur de la problématique de développement durable
    de la société, et du déroulement harmonieux de la vie de l’individu.

Cette combinaison d’un besoin accru de protection, du coût grandissant de la remise en état, et
d’un accroissement de la population, économiquement ou socialement fragilisée, ayant un fort
besoin d’aide exige une réinvention des métiers.

 

Charte

Avoir un rôle moteur dans la transformation des systèmes d’assurance
L’expert occupe une situation unique au contact de la réalité, en perpétuelle transformation, dans
toutes ses dimensions, sociale, économique et environnementale.
Il doit utiliser ce rôle central pour impulser la réflexion de ses parties prenantes quant à la
réinvention de leur métier.
En particulier, il doit apporter à ses parties prenantes les informations et moyens leur permettant
de comprendre cette réalité et de concevoir des produits et services répondant aux exigences du
développement durable, aux besoins du marché, et économiquement rentables.
Pour cela, il doit construire un mécanisme de dialogue avec ses parties prenantes.
Par son action quotidienne, l’expert doit anticiper les situations à risque et contribuer au choix
de solutions de remise en état durables
Le développement durable est essentiellement une question d’action quotidienne.
La profession d’expert doit définir, avec ses parties prenantes, des protocoles d’intervention
homogènes, qui permettent à ses membres de repérer (par exemple par le biais d’indicateurs), de
donner une réponse adaptée (protocoles) au besoin des différents segments de problématiques
que présente le marché, et d’apporter une information adéquate à ses parties prenantes
(procédures d’information).
En particulier, cette réponse doit intégrer des procédures de remise en état qui conduisent à une
amélioration de la durabilité de l’existant et qui, pour cela, prennent en compte les normes et
recommandations nationales et internationales (Grenelle II, Iso 26000…), ainsi que les évolutions
de la technologie.
Elle doit aussi reconnaître le besoin d’accompagnement des populations fragiles, et l’obligation
pour l’expert de les aider à faire valoir l’intégralité de leurs droits.
Faire progresser, par un investissement permanent, les compétences de la profession d’expert
dans le domaine du développement durable
Les connaissances des procédures, des normes, des conventions et des textes de lois, qui
alimentent le référentiel utile aux missions des experts, ainsi que les enseignements tirés des
retours d’expérience permanents, doivent être appliqués uniformément par la profession.
Cet ensemble constitue le socle du travail de mise en cohérence du Droit, de la Technique, de
l’Economie et du Social avec la réalité des situations pour le bon règlement des dossiers de
sinistre et de crise.
Pour cela la FSE organisera un système d’information et de formation de ses membres et de
contrôle qualité.
Par ailleurs le métier d’expert ne saurait s’inscrire durablement dans son environnement sans
l’adoption d’une politique de Responsabilité Sociale se traduisant par des principes forts en
matière de gestion de ressources humaines, lesquels s’appliquent à l’ensemble des collaborateurs
oeuvrant dans l’Expertise :

  • Le souci permanent du développement des compétences individuelles et collectives par la
    mise en oeuvre d’une politique de formation adaptée.
  • La diffusion d’une culture de responsabilité, propre à développer la confiance et
    l’initiative à tous les niveaux.
  • L’adoption de méthodes de travail collaboratives, ouvertes, garantissant la transparence
    et la fiabilité des prestations
  • une organisation du travail qui prend en compte la santé et la sécurité au travail de
    chacun.

Avoir un rôle moteur dans la sensibilisation, l’information et la formation des parties prenantes
en ce qui concerne les problématiques du développement durable
Sensibilisation, information et formation ont une importance capitale dans la prise en compte de
la question du développement durable par la société.
La profession d’expert jouera un rôle moteur dans ces domaines par le biais du dialogue instauré
avec ses parties prenantes.
En particulier, elle étudiera comment tirer le meilleur parti de ses ressources informatiques, qui
forment une base de connaissances et d’expériences unique, ainsi que des possibilités des médias
sociaux.
Mettre au point et proposer des prestations adaptées aux catastrophes naturelles et
technologiques
La profession s’engage à définir, avec ses parties prenantes traditionnelles et avec les organismes
nationaux et internationaux concernés, le type de service (procédure / profil d’expert…) adapté
aux questions nouvelles que pose la recrudescence de catastrophes naturelles et technologiques,
et qui demandent :

  • Mise en place de procédures de mobilisation immédiate.
  • Maintien des compétences d’experts spécialisés, nécessaires à ce type d’événement de grande
    ampleur, en nombre adéquat.
  • Des techniques d’expertise appropriées. La durée de l’expertise conditionne le démarrage de la
    remise en état. L’expertise doit donc être faite très rapidement dans un contexte dégradé
    (forte demande en artisans, prix en hausse, volume de dossiers important, stress des acteurs,
    conditions difficiles…).

En particulier, elle envisagera des mécanismes de coordination internes, qui lui permettent, le cas
échéant, de mettre en commun ses ressources.